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Reformuler, une question de genres ? (Porto, Portugal)

Reformuler, une question de genres ? (Porto, Portugal)

Publié le par Marc Escola (Source : Driss Ablali)

Reformuler, une question de genres ?

17-18 juin 2019

Université de Porto, Portugal

                                                                                                                       

Driss Ablali, CREM, Université de Lorraine

Matilde Gonçalves, CLUNL, Universidade NOVA de Lisboa

Fátima Silva, CLUP,  Universidade do Porto

 

Ce colloque a pour objectif de répondre à la question de la reformulation en lien avec la catégorie du genre aussi bien dans son acception discursive (genre de discours/genre textuel) que sexuée (genre social). Pourquoi avons-nous parfois besoin de connaître l’identité de genre de la locutrice/locuteur ou d’identifier les genres textuels à l’œuvre dans une production langagière pour comprendre comment une reformulation fait sens dans une pratique discursive orale ou écrite ? La réponse à cette question peut varier en fonction du point de vue théorique adopté. Le concept de reformulation s’est en effet développé dans de nombreux espaces disciplinaires (linguistique, sémiotique, didactique et narratologie), et dans une diversité de situations, avec des pratiques qui ne posent pas les mêmes problèmes épistémologiques ni heuristiques, ce qui lui confère une certaine plasticité dans son usage et sa description.

Plutôt que de se focaliser sur le champ théorique de la notion de reformulation, déjà amplement discutée, et identifiable à travers des structures constitutives multi-niveaux, dans ses liens avec celles de paraphrase, de glose, de reprise, d’itération, de répétition et de transcodage, le parti pris de ce colloque consiste à poser la question de la reformulation dans le processus de reconnaissance et d'interprétation du sens, en orientant les réflexions et les études de cas tant du point de vue de l’identité de genre que des genres textuels. Le genre, à la fois discursif et social, doit être envisagé comme un ensemble de contraintes ou de conditions de possibilités du sens reformulé. Il invite ainsi à considérer des paliers aussi étendus que ceux de la culture, du pouvoir, de l’idéologie, de la performance, des normes sociales, de l’esthétique ou de la technique.

L’enjeu majeur de ce colloque, qui cherche à explorer d’autres voies de recherche pour l’apport de nouvelles catégories descriptives, consiste à considérer la reformulation, par le biais de ses deux constituants de base – l'énoncé source et l'énoncé reformulé –, non pas comme un simple acte de langage, mais comme un processus sémiotique contraint par le genre textuel et/ou par l’identité de genre.

On souhaite que ce colloque international et pluridisciplinaire rende compte des enjeux et des objectifs propres aux sciences des textes et des discours cherchant à homologuer reformulation et genre dans l’analyse des pratiques langagières écrites, orales, multimodales ou autres. Ce colloque sera aussi l’occasion de revenir sur les enjeux de la dualité, genre et reformulation, d’en interroger les usages, et de dégager ses limites, mais toujours en partant de pratiques textuelles et discursives attestées. Concrètement, nous voudrions que ce colloque s’intérroge, non seulement sur les pratiques verbales (littéraires, médiatiques, politiques, scolaires et universitaires…), mais aussi sur des pratiques pluri-modales en élargissant l’empan de la description de la dualité genre et reformulation à d’autres médias comme le cinéma, la publicité, la photographie, etc., dès lors qu’il s’agit de confronter le caractère matriciel et fonctionnel de la procédure de reformulation au genre.

Ainsi, et sans être exclusives, pourront être considérées les questions suivantes, comme source d’interaction entre reformulation et genre :

— En quoi les allers et retours entre le texte et son genre, ou entre sujet et son identité genrée affectent-ils la reformulation ?

— L’entrée par le genre textuel influence-t-elle les productions et les descriptions de la reformulation ? Plus généralement, que pourraient nous apporter les genres textuels pour comprendre et décrire la reformulation ?

— Peut-on repérer dans certaines pratiques langagières ou autres des observables sémiotiques et linguistiques (sémantiques, syntaxiques, narratifs, figuratifs, actantiels, pathémiques, prosodiques, pragmatiques, parmi d’autres), qui rendent compte de l’impact de l’identité de genre sur les phénomènes de reformulation ? Ou pour aller encore plus loin, l’acte de reformulation permet-il de mettre en scène différentes féminités ou masculinités ?

— Sur quels types d’observables s’appuie-t-on pour appréhender les activités de reformulation sous l’angle du genre textuel dans l’interaction en contexte didactique ?

— Quelle est la place du genre textuel en didactique comme outil d’observation du processus de reformulation ? De quelle façon les performances de genre des apprenants déterminent, configurent différentes formes de reformulation dans le discours ? Est-ce que les performances de genre rendent évidentes/intelligibles certaines formes de performances textuelles telles que la réformulation ?

— Dans les productions plurisémiotiques et multimodales, que peut apporter une prise en compte du genre, dans sa double acception non conjointe, de la reformulation ? Comment les différentes formes de masculinités et de fémininités, trans ou binaires, performent-elles dans un processus de reformulation ?

— Comment interpréter dans les nouveaux dispositifs de communication (forums, blogs, réseaux sociaux, tchats, etc.) l’émergence de nouvelles pratiques de reformulation déterminées par l’identité de genre ou par les genres de textes ?  

Dans ce qu’il est convenu parfois de qualifier, en rapport avec la question centrale de la narration,  de « littérature contemporaine, ou dans les écrits à dominante  factuelle ou fictionnelle ou relevant de formes intermédiaires (narrations documentaires, fictions « hypermodernes », récits de vie, littérature de témoignage, etc.) », la prise en compte de l’identité de genre invite-t-elle à repenser, à nouveaux frais, le déjà-dit reformulé ? ou comment le brouillage des genres textuels et des frontières (fiction vs non-fiction, masculin vs féminin, humain/animal, trans-humain/post-humain) », conditionne-t-il les pratiques de reformulation ?

Autant de questions, théoriques et pratiques, qui conduisent à articuler l’interaction entre reformulation et genre. Ce colloque cherchera à rendre compte de l’état de l’art du travail accompli, de sa diversité, mais aussi, en s’appuyant sur des propositions théoriques et heuristiques, à proposer de nouvelles catégories descriptives nécessaires à la quête du sens reformulé.

 

Modalités de soumission des communications :

Les propositions de communication devront être déposées, avant le 15 décembre 2018, sur le site de la conférence à l’adresse suivante :

https://reformulerporto2019.wordpress.com/.

Les articles soumis devront décrire un travail original et novateur. Les contributions devront contenir un état de l’art et des références à des travaux antérieurs pertinents. Le résumé sera accompagné d’une page de renseignements pratiques comprenant : nom, affiliation, téléphone, adresse postale et électronique. Les résumés (ne dépassant pas 3000 signes) doivent être en Times 12 avec interligne simple et en format Word ou PDF. Les contributions feront l’objet d’une double évaluation anonyme par le comité scientifique. Le retour des propositions de contributions sera communiqué le 20 mars 2019, et le programme du colloque sera diffusé le 15 avril 2019.

Publication :

Ces journées fourniront matière à la publication en 2020 d’un ouvrage collectif.

Langues des communications : français et portugais

Deux conférencier.e.s invité.e.s

*

Modalités d’inscription :

Le comité d’organisation a établi les tarifs suivants relatifs à l'inscription au colloque :

 Plein tarif : 100 euros

 80 euros pour les collègues portugais

 60 euros pour les étudiants

Les frais d’inscription sont à régler pour des raisons logistiques au plus tard le 15 avril par virement sur le compte de l’université. Ses frais comprennent :

la participation à toutes les séances du colloque

le cocktail d'accueil, les pauses cafés

 

 

 

 

 

Comité d’organisation local :

Fátima Silva

António Leal

Purificação Silvano

 

Contact colloque : 

Comité d’organisation : reformulerporto2019@easychair.org

 

Comité scientifique :

Julie Abbou, Université Aix-Marseille, France

Anne Beyaert-Geslin, Université Bordeaux Montaigne, France

Sémir Badir, Université de Liège, Belgique

Alpha Ousmane Barry, Université Bordeaux Montaigne, France

Ecaterina Bulea-Bronckart, Université de Genève, Suisse

Lucile Cadet, Université Paris Est Créteil, France

Andrée Chauvin Vileno, Université Bourgogne Franche-Comté, France

Georgeta Cislaru, Université Paris Sorbonne Nouvelle Paris 3, France

Chantal Claudel, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France

Marion Colas Blaise, Université du Luxembourg, Luxembourg

Nicolas Couégnas, Université de Limoges, France

France Dhorne, Université Aoyama-Gakuin de Tokyo, Japon

Isabel Margarida Duarte, Universidade do Porto, Portugal

Dominique Ducard, Université Paris Est Créteil, France

Saloua El Oufir, Université Mohammed V de Rabat, Maroc

Béatrice Fleury, Université de Lorraine, France

Valdir Flores, Université Fédérale du Rio Grande do Sul, Brésil

Sébastien Genvo, Université de Lorraine, France

Luca Greco, Université de Lorraine, France

Alexandra Guedes Pinto, Faculdade de Letras da Universidade do Porto, Portugal

Noémia Jorge, Universidade NOVA de Lisboa, Portugal

Abdenbi Lachkar, Université de Montpellier 3, France

Audria Leal, Université NOVA de Lisbonne, Portugal

Montserrat López Díaz, Université de Santiago de Compostelle, Espagne

Lita Lundquist, Copenhagen Business School, Danemark

Ana Cristina Macário Lopes, Universidade de Coimbra, Portugal

Gianfranco Marrone, Université de Palerme, Italie

Maria Aldina Marques, Universidade do Minho, Portugal

Florencia Miranda, Université de Rosario, Argentine

Hassan Moustir, Université Mohammed V de Rabat, Maroc

Henning Nølke, Université d’Aarhus, Danemark

Paulo Nunes da Silva, Universidade Aberta, Portugal

Fátima Oliveira, Universidade do Porto, Portugal

Duygu Öztin Passerat, Université Dokuz Eylül, Turquie

Ondřej Pešek, Université d Boheme du Sud, České Budějovice, République Tchèque

André Petitjean, Université de Lorraine, France

François Provenzano, Université de Liège, Belgique

Alain Rabatel, Université Lyon 1, France

Yves Reuter, Université de Lille III, France

Hamid Reza Shairi, Université Tarbiat Modares de Téhéran, Iran

Márcia Romero, Université Fédérale de São Paulo, Brésil

Isabel Seara, Universidade Aberta, Portugal

Céline Ségur, Université de Lorraine, France

Agnès Steuckardt, Université de Montpellier 3, France

Helena Topa Valentimn, Universidade NOVA de Lisboa, Portugal

Sónia Valente Rodrigues, Universidade do Porto, Portugal

Joana Vieira Santos, Universidade de Coimbra, Portugal

Patricia von Münchow, Université Paris Descartes, France

Jacques Walter, Université de Lorraine, France

Brigitte Wiederspiel, Université de Lorraine, France

 

 

Reformular, uma questão de géneros?

 

17-18 junho 2019

Universidade do Porto, Portugal

                                                                                                                       

Driss Ablali, CREM, Universidade do Lorraine

Matilde Gonçalves, CLUNL, Universidade NOVA de Lisboa

Fátima Silva, CLUP,  Universidade do Porto

 

Este colóquio visa responder à questão da reformulação relacionada com a categoria género tanto no seu sentido discursivo (género de discurso / género textual) quanto sexuado (género social). Qual é a necessidade de conhecer, em determinadas situações, a identidade de gênero do falante / da falante ou identificar os géneros textuais implicados numa atividade de linguagem para compreender como uma reformulação produz sentido numa prática discursiva oral ou escrita? A resposta a esta pergunta pode variar dependendo do ponto de vista teórico adotado. O conceito de reformulação, de facto, tem-se desenvolvido em muitas áreas disciplinares (linguística, semiótica, didática e narratologia), e numa variedade de situações, com práticas que não colocam os mesmos problemas epistemológicos ou heurísticos, o que lhe confere certa plasticidade no uso e descrição.

 

Mais do que se centrar no campo teórico da noção de reformulação, já amplamente discutida, e identificável através de estruturas constitutivas de vários níveis, nas suas ligações com as estruturas de paráfrase, glosa, retoma, iteração, repetição e transcodificação, o foco deste colóquio é colocar a questão da reformulação no processo de reconhecimento e interpretação do sentido, orientando as reflexões e os estudos de caso tanto do ponto de vista da identidade do género como do dos géneros textuais. O género, simultaneamente discursivo e social, deve ser visto como um conjunto de restrições ou condições de possibilidade do sentido reformulado. Ele convida-nos, portanto, a considerar patamares tão extensos quanto os da cultura, do poder, da ideologia, do desempenho, das normas sociais, da estética ou da técnica.

 

O grande desafio deste colóquio, que procura explorar outras vias de investigação, nomeadamente a consideração do contributo de novas categorias descritivas, é considerar a reformulação, através dos seus dois constituintes de base – o enunciado fonte e o enunciado reformulado - não como um mero ato de linguagem, mas como um processo semiótico constrangido pelo género textual e / ou pela identidade de género.

Espera-se que este colóquio internacional e pluridisciplinar reflita sobre as questões e objetivos específicos das ciências do texto e do discurso, procurando homologar reformulação e género na análise de práticas de linguagem escritas, orais, multimodais ou outras. Este colóquio será também uma oportunidade para revisitar as questões de dualidade, género e reformulação, questionar os usos e clarificar os seus limites, partindo sempre de práticas textuais e discursivas atestadas. Concretamente, gostaríamos que esta conferência se concentrasse não apenas nas práticas verbais (literárias, mediáticas, políticas, escolares e universitárias ...), mas também nas práticas multimodais, ampliando o escopo da descrição da dualidade género e reformulação a outros médias como o cinema, a publicidade, a fotografia, etc., a fim de confrontar o caráter matricial e a natureza funcional do processo de reformulação com o género.

 

Assim, e sem exclusividade, podem ser consideradas as seguintes questões como fonte de interação entre reformulação e género:

  • De que maneira o vaivém entre o texto e seu género, ou entre o indivíduo e a sua identidade de género, afeta a reformulação?
  • A entrada pelo género textual influencia as produções e as descrições da reformulação? De um modo geral, o que podem os géneros textuais trazer-nos para entender e descrever a reformulação?
  • Pode-se identificar em certas práticas de linguagem ou outros observáveis semióticos e linguísticos (semânticos, sintáticos, narrativos, figurativos, actantiais, patémicos, prosódicos, pragmáticos, entre outros), que sinalizam o impacto da identidade de género em fenómenos de reformulação? Ou, para aprofundar a questão, o ato de reformulação possibilita encenar diferentes feminilidades ou masculinidades?
  • Quais os tipos de observáveis para apreender as atividades de reformulação sob o ângulo do género textual em contexto didático?
  • Qual é o lugar do género textual na didática como ferramenta para a observação do processo de reformulação? De que modo é que as práticas genéricas dos aprendentes determinam, configuram diferentes formas de reformulação no discurso? As práticas genéricas tornam evidentes/inteligíveis certas formas de desempenho textual como a reformulação?
  • Em produções plurisemióticas e multimodais, qual a mais-valia da tomada em consideração do género, na sua dupla aceção não conjunta, na questão da reformulação? Como é que as diferentes formas de masculinidades e de feminilidades, trans ou binárias, atuam num processo de reformulação?
  • Como interpretar nos novos dispositivos de comunicação (fóruns, blogues, redes sociais, chats, etc.) a emergência de novas práticas de reformulação determinadas pela identidade de género ou pelos géneros de textos?
  • Relativamente à questão central da narração,no que às vezes se acorda em qualificar de "literatura contemporânea, ou nos escritos com dominante factual ou ficcional ou decorrentes de formas intermediárias (narrações documentais, ficções "hipermodernas", histórias de vida, literatura testemunhal, etc.)", ter em conta a identidade de género leva a repensar, com novas implicações, o já dito reformulado? ou como é que os cruzamentos de géneros e fronteiras textuais (ficção versus não-ficção, masculina versus feminina, humana / animal, transumana / pós-humana) condiciona as práticas de reformulação?

 

São muitas as questões, teóricas e práticas, que conduzem à articulação da interação entre reformulação e género. Este colóquio procurará dar conta do estado da arte do trabalho realizado, da sua diversidade, mas também, apoiando-se em propostas teóricas e heurísticas, propor novas categorias descritivas necessárias à busca do sentido reformulado.

 

Modalidades de submissão de comunicações:

As propostas de trabalhos devem ser enviadas até 15 de dezembro de 2018 e carregadas a partir da página da conferência:

https://reformulerporto2019.wordpress.com/.

As propostas submetidas devem propor trabalhos originais e inovadores. As contribuições devem incluir um estado da arte e referências a trabalhos anteriores relevantes. O resumo será acompanhado por uma página de informações práticas, que compreendem: nome, afiliação, telefone, endereço postal e e-mail. Os resumos (com limite máximo de 3000 carateres) devem ser escritos em Times 12 com espaçamento simples e em formato Word ou PDF. As contribuições serão objeto de uma dupla avaliação anónima pela comissão científica. O resultado da avaliação será anunciado a 20 de março de 2019 e o programa do colóquio será disponibilizado a 15 de abril de 2019.

 

Publicação : será publicado, em 2020, um volume com os textos do colóquio selecionados após avaliação por uma comissão de leitura 

 

Línguas das communicações : francês e português

 

Dois.uas conferencistas convidados.as

 

Modalidades de inscrição:

 A comissão organizadora estabeleceu as seguintes taxas para inscrição na conferência:

Preço integral: 100 euros

 80 euros para colegas portugueses

 60 euros para estudantes

As taxas de inscrição devem ser pagas por razões logísticas até 15 de abril de 2019 por transferência para a conta da universidade.

A taxa de inscrição inclui:

 participação em todas as sessões da conferência

o coquetel de boas vindas

as pausas para café

 

 

Comissão organizadora local:

Fátima Silva

António Leal

Purificação Silvano

 

 

 

Contacto do colóquio: 

Comissão Organizadora : reformulerporto2019@easychair.org

 

Comissão científica:

Julie Abbou, Université Aix-Marseille, France

Anne Beyaert-Geslin, Université Bordeaux Montaigne, France

Sémir Badir, Université de Liège, Belgique

Alpha Ousmane Barry, Université Bordeaux Montaigne, France

Ecaterina Bulea-Bronckart, Université de Genève, Suisse

Lucile Cadet, Université Paris-Est Créteil, France

Andrée Chauvin Vileno, Université Bourgogne Franche-Comté, France

Georgeta Cislaru, Université Paris Sorbonne Nouvelle-Paris 3, France

Chantal Claudel, Université Paris-Ouest Nanterre La Défense, France

Marion Colas Blaise, Université du Luxembourg, Luxembourg

Nicolas Couégnas, Université de Limoges, France

France Dhorne, Université Aoyama-Gakuin de Tokyo, Japon

Isabel Margarida Duarte, Universidade do Porto, Portugal

Dominique Ducard, Université Paris-Est Créteil, France

Saloua El Oufir, Université Mohammed V de Rabat, Maroc

Béatrice Fleury, Université de Lorraine, France

Valdir Flores, Université Fédérale du Rio Grande do Sul, Brésil

Sébastien Genvo, Université de Lorraine, France

Luca Greco, Université de Lorraine, France

Alexandra Guedes Pinto, Faculdade de Letras da Universidade do Porto, Portugal

Noémia Jorge, Universidade NOVA de Lisboa, Portugal

Abdenbi Lachkar, Université de Montpellier 3, France

Audria Leal, Université NOVA de Lisbonne, Portugal

Montserrat López Díaz, Université de Santiago de Compostelle, Espagne

Lita Lundquist, Copenhagen Business School, Danemark

Ana Cristina Macário Lopes, Universidade de Coimbra, Portugal

Gianfranco Marrone, Université de Palerme, Italie

Maria Aldina Marques, Universidade do Minho, Portugal

Florencia Miranda, Université de Rosario, Argentine

Hassan Moustir, Université Mohammed V de Rabat, Maroc

Henning Nølke, Université d’Aarhus, Danemark

Paulo Nunes da Silva, Universidade Aberta, Portugal

Fátima Oliveira, Universidade do Porto, Portugal

Duygu Öztin Passerat, Université Dokuz Eylül, Turquie

Ondřej Pešek, Université d Boheme du Sud, České Budějovice, République Tchèque

André Petitjean, Université de Lorraine, France

François Provenzano, Université de Liège, Belgique

Alain Rabatel, Université Lyon 1, France

Yves Reuter, Université de Lille III, France

Hamid Reza Shairi, Université Tarbiat Modares de Téhéran, Iran

Márcia Romero, Université Fédérale de São Paulo, Brésil

Isabel Seara, Universidade Aberta, Portugal

Céline Ségur, Université de Lorraine, France

Agnès Steuckardt, Université de Montpellier 3, France

Helena Topa Valentimn, Universidade NOVA de Lisboa, Portugal

Sónia Valente Rodrigues, Universidade do Porto, Portugal

Joana Vieira Santos, Universidade de Coimbra, Portugal

Patricia von Münchow, Université Paris Descartes, France

Jacques Walter, Université de Lorraine, France

Brigitte Wiederspiel, Université de Lorraine, France