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Réécritures et reformulations en linguistique, en littérature, en traductologie, en intermédialité : le cas des études romanes (Sofia, Bulgarie)

Réécritures et reformulations en linguistique, en littérature, en traductologie, en intermédialité : le cas des études romanes (Sofia, Bulgarie)

Publié le par Arnaud Welfringer (Source : Malinka Velinova)

Réécritures et reformulations en linguistique, en littérature, en traductologie, en intermédialité : le cas des études romanes

17 et 18 novembre 2017

Journées d’étude internationales organisées par

le Département d’études romanes de l’Université de Sofia « Saint Clément d’Ohrid »

 

Appel à communications

Pour cette deuxième édition de nos journées d’étude internationales, nous invitons les jeunes chercheurs (en particulier doctorants et étudiants de master) à présenter leurs recherches et réflexions au sujet de la réécriture et de la reformulation, envisagées sous leurs aspects les plus divers, dans les langues et les littératures romanes.

La réécriture est incontestablement un des procédés principaux mis en œuvre dans la pratique scripturale. La notion se trouve en corrélation avec des phénomènes différents, tels que le dialogisme (cf. Bakhtine 1970), l’intertextualité (cf. Kristeva 1969), la transtextualité (cf. Genette 1982). De par sa nature, la réécriture suggère le retour vers un déjà-là textuel qui est repris, retravaillé et réactualisé lors du processus de la création littéraire. De ce fait, la réécriture s’articule toujours autour de l’axe imitation – invention, qui est déterminé par le degré de fidélité d’un texte B (né suite à la mise en œuvre de la réécriture) à un texte A (préexistant). Analysée dans une telle perspective, la notion de réécriture ne pourrait pas être pleinement conçue en dehors du processus de modification qu’elle engendre. Fondé sur le recyclage et la transformation de modèles mythologiques, esthétiques, archétypaux préexistants, ce processus aboutit à la création d’une nouvelle entité textuelle entretenant un rapport plus ou moins étroit avec le texte antérieur sur lequel elle vient se greffer.

Au cours des dernières décennies, les notions de réécriture et de reformulation ont fait l’objet d’études approfondies dans différents domaines des sciences du langage, aussi bien en synchronie qu’en diachronie, et ont été le plus souvent mises en relation avec des phénomènes apparentés, mais cependant assez variés, tels que la répétition, la reprise, la paraphrase, l’altération, la transformation, etc.

Afin de faire l’état de l’art mais aussi d’essayer de nuancer les différentes définitions de ces deux notions, nous proposons, sans prétendre à l’exhaustivité, les quelques pistes de recherche suivantes :

— la réécriture dans la théorie littéraire : mener une réflexion sur les définitions possibles de la notion de réécriture en s’appuyant sur des exemples concrets fonctionnant comme des manifestations de la réécriture dans le texte (hypotexte, adaptation, variation, transposition, collage, répétition, etc.) (cf. Deleuze 1968, Compagnon 1979, Genette 1985, Bouillaguet 1996, etc.) ; définir les limites de la réécriture en tant que telle et dans son rapport à l’intertextualité ; explorer les reformulations « à contact » (riformulazione a contatto), qui apparaissent dans les textes narratifs en particulier, mais aussi dans la poésie, et qui consistent en des paragraphes ou des pages insistant sur un même état de choses, en le reformulant plusieurs fois de suite (sans changement de voix auctoriale) (cf. Manzotti 1996) ;

— réécriture génétique : le/les manuscrit/s d’auteur, les corrections, les retouches,  le brouillon et la catégorie de texte ; cohérence du brouillon vs hétérogénéité du texte, ou la critique génétique française vs la critique des variantes italienne (cf. Fuchs 1982a, Grésillon 1994, Segre 1995, Mahrer 2009, de Biasi & Herschberg Pierrot 2015, Celani 2016, etc.) ;

— critique et réécriture des règles orthographiques, morphologiques et syntaxiques dans des ouvrages grammaticaux et lexicographiques datant de diverses époques (notamment, pour le français, La pensée et la langue (1922) de Ferdinand Brunot, ou, à une époque plus éloignée, le Dictionnaire critique de la langue française (1787) de l’Abbé Féraud, etc.) ; quelles conceptions de la langue et de son « bon usage », mais aussi de la société contemporaine, de pareils ouvrages traduisent-ils ? quel est leur impact sur l’évolution de la langue et de la linguistique, ainsi que de la didactique de la langue ? (cf., entre autres, GEHLF 1986 et Elalouf 2015) ;

— la réécriture et la reformulation en langue et en discours : les « règles de réécriture », la paraphrase et la transformation en grammaire générative et transformationnelle (cf. Chomsky 1965, Harris 1973) ; approches linguistiques et approches discursives de la paraphrase (cf. Fuchs 1982b, 1982c) ; marqueurs linguistiques et stratégies énonciatives de la reformulation : les rapports qu’entretient celle-ci avec la correction, l’explication, l’imitation, l’altération, la répétition, la reprise, etc. (cf. Fuchs 1994, Manzotti 1999, Viprey & Migeot 2000, Le Bot et al. 2008, etc.) ;

— la paraphrase, la reformulation et la traduction : la reformulation en traductologie : traduire est-ce reformuler et/ou réécrire et/ou altérer ? (cf. Lederer 1994, Rastier 2006, Eco 2003, etc.) ; les procédés de reformulation dans la traduction écrite et/ou littéraire et dans la traduction orale, simultanée, ou interprétation ; les traductions médiévales et leur rôle dans l’évolution des langues vulgaires (cf., pour le français, Buridant 2003) ;

— les stratégies de reformulation en acquisition et en didactique de la langue maternelle, ou première (cf. Martinot 2000, 2010, etc.), mais aussi en acquisition et en didactique des langues étrangères (cf. Rabatel 2010, Volteau & Rançon 2015, etc.) ;

— la mise à l’écrit de l’oralité comme « degré zéro de réécriture » ; les formules orales (ou épiques) et leur reformulation et/ou réutilisation/adaptation dans différents genres et textes postérieurs ;

— réécriture dans les interventions métadiscursives du narrateur, auteur, compilateur, éditeur ou imprimeur des œuvres à des époques différentes (cf., par exemple, Wahlen 2010) ; les gloses et les commentaires bibliques au Moyen Âge (cf., pour une étude approfondie et pour une typologie, Dahan 2009), etc. ;

— réécriture et réception : déterminer le rôle du lecteur qui, en reconstituant le réseau de liens intertextuels qui se tissent entre un texte et son modèle, se voit doter d’un statut particulier au sein du processus de reconstitution du sens et de l’interprétation d’une œuvre littéraire ;

— réécriture et intermédialité : étudier la réécriture comme passage d’un medium artistique à l’autre subvertissant les limites conventionnelles du texte qui s’ouvre à des éléments de nature exogène (picturaux, photographiques, théâtrales, etc.) (cf. Hamon 2007, Goodman 2011) ; examiner l’adaptation de l’œuvre littéraire à d’autres arts (théâtre, cinéma, performance artistique, etc.) ;

— réécriture et mythocritique (cf., pour la mythocritique, la revue Amaltea) : recyclage, réinvention, transposition et réappropriation des mythes (cf. Eliade 1949, 1963 ; Barthes 1957) ; transparence et opacité de la réécriture : voir d’une part quels sont les éléments faisant l’objet de la réécriture (motifs, mythes, personnages, etc.) qui permettent d’identifier facilement le modèle d’origine et, d’autre part, quels sont ces motifs « opaques » dont l’identification exige la maîtrise de codes culturels spécifiques (cf. Brunel 1992, Bollack 1998, etc.).

Nous espérons que les réponses à toutes ces questions donneront lieu à des échanges fructueux, tout en permettant de jeter une lumière nouvelle sur le rôle important que joue l’usage des notions/termes de réécriture et de reformulation pour la compréhension de la création littéraire et de la réception du texte littéraire, de l’acquisition du langage et de l’évolution de la langue, des relations qu’entretiennent entre eux les différents arts, ainsi que l’oralité et la scripturalité, des processus de transmission et d’appropriation des textes.

 

Bibliographie indicative :

Amaltea. Revista de mitocrítica [En ligne], Universidad Complutense de Madrid, URL : http://revistas.ucm.es/index.php/AMAL.

Androutsopoulos, I. & P. Malakasiotis (2010), “A survey of paraphrasing and textual entailment methods”, Journal of Artificial Intelligence Research, 38, 135-187.

Bakhtine, M. (1970), La Poétique de Dostoïevski, Paris, Seuil.

Barthes, R. (1957), Mythologies, Paris, Seuil.

Baudot, D. (éd.), (2002), Redewiedergabe, Redeerwähnung. Formen und Funktionen des Zitierens und Reformulierens im Text, Stauffenburg Verlag.

Bhagat, R. & E. Hovy (2013). “What is a paraphrase?”, Computational Linguistics, 39(3), 463-472.

Bloom, H. (1997 [1973]), The Anxiety of Influence. A Theory of Poetry, New York / Oxford, Oxford University Press.

Bollack, J. (1998), La Grèce en personne, les mots sous le mythe, Paris, Seuil.

Bouillaguet, A. (1996), L’Écriture imitative : pastiche, parodie, collage, Paris, Nathan.

Brunel, P. (1992), Mythocritique, théorie et parcours, Paris, PUF.

Buridant, C. (2003), « Le rôle des traductions médiévales dans l'évolution de la langue française et la constitution de sa grammaire », Médiévales [En ligne], 45, mis en ligne le 13 mars 2006, consulté le 02 octobre 2016. URL : http://medievales.revues.org/637 ; DOI : 10.4000/medievales.637.

Celani, S. (a cura di) (2016): Riscritture d’autore: La creazione letteraria nelle varianti macro-testuali, Collana Studi e Ricerche 42, Roma, Sapienza Università Editrice.

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Compagnon, A. (1979), La seconde main ou le travail de la citation, Paris, Seuil.

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GEHLF (1986), Autour de Féraud : la lexicographie en France de 1762 à 1835, Actes du colloque international organisé à l'École Normale Supérieure de Jeunes Filles les 7, 8 et 9 décembre 1984 par le Groupe d'études en histoire de la langue française (GEHLF), Paris, École Normale Supérieure de Jeunes Filles.

Genette, G. (1982), Palimpsestes – La littérature au second degré, Paris, Seuil.

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Gülich, E. & T. Kotschi (1983), « Les marqueurs de la reformulation paraphrastique », Cahiers de linguistique française 5, 305-351.

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Hamon, Ph. (2007), Imageries, littérature et image au XIXème siècle, Paris, José Corti.

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Heidmann, U. & J.-M. Adam (2009), Le texte littéraire. Pour une approche interdisciplinaire, Louvain-la-Neuve, Academia Bruylant.

Jeandillou, J.-F. (1994), Esthétique de la mystification : tactique et stratégie littéraire, Paris, Éditions de Minuit.

Kahane, S. & P. Pietrandrea (2012), « La typologie des entassements en français ». CMLF2012.

Коларов, Р. (2009), Повторение и сътворение: поетика на автотекстуалността, София, Просвета [Kolarov, R. (2009), Répétition et création : poétique de lautotextualité, Sofia, Prosveta].

Kristeva, J. (1969), Sèméiotikè. Recherches pour une sémanalyse, Paris, Seuil.

Le Bot, M.-C. et al. (dir.) (2008), La reformulation : marqueurs linguistiques, stratégies énonciatives, Rennes, Presses Universitaires de Rennes.

Lederer, M. (1994), La traduction aujourd’hui : le modèle interprétatif, Paris, Hachette.

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Martin, R. (1976), Inférence, antonymie et paraphrase, Paris, Klincksieck.

Martinot, C. (dir.) (2000), Acquisition et reformulation, Langages 140.

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Rabatel, A. (dir.) (2010), Les reformulations pluri-sémiotiques en contexte de formation, Presses Universitaires de Franche-Comté.

Rastier, F. (2006), « La traduction : interprétation et genèse du sens », in Lederer, M., Le sens en traduction, Paris, Minard, 37-49.

Segre, C. (1995), « Critique des variantes et critique génétique », Genesis. Manuscrits, Recherche, Invention 7, 29-46.

Steyer, K. (1997), Reformulierungen. Sprachliche Relationen zwischen Äußerungen und Texten im öffentlichen Diskurs, Tübingen, Narr.

Viprey, J.-M. & F. Migeot (dir.) (2000), Répétition, altération, reformulation dans les textes et discours, Semen 12.

Volteau, S. & J. Rançon (dir. ) (2015), La reformulation : usages et contextes, Corela HS 18.

Vouilloux, B. (1997), Langages de l’art et relations transesthétiques, Paris, Éditions de l’éclat.

Wahlen, B. (2010), L’Écriture à rebours. Le Roman de Méliadus du XIIIe au XVIIIe siècle, Genève, Droz.

 

Comité scientifique :

Paul AUBERT (Aix-Marseille Université)

Giuliana BENVENUTI (Université de Bologne)

Ioana BICAN (Université Babeş-Bolyai, Cluj-Napoca)

Daniéla CAPIN (Université de Strasbourg)

Elena DINEVA (Université de Sofia)

Vessela GUENOVA (Université de Sofia)

Gueorgui JETCHEV (Université de Sofia)

Daria KARAPETKOVA (Université de Sofia)

Nikola KRASTEV (Université de Sofia)

Thierry LAURENT (ILLE, Université de Haute-Alsace & CRLC, Université Paris – Sorbonne)

Elena LLAMAS POMBO (Université de Salamanque)

Emilio MANZOTTI (Université de Genève)

Carmen MIRZEA VASILE (Institut de linguistique de l’Académie roumaine « I. Iordan – Al. Rosetti » & Université de Bucarest)

Antoinetta ROBOVA (Université de Sofia)

Olivier SOUTET (Université Paris – Sorbonne)

Daniela STOYANOVA (Université de Sofia)

Dimitru TUCAN (Université de l’Ouest de Timișoara)

Teodora TZANKOVA (Institut de littérature, Académie des sciences bulgare)

Malinka VELINOVA (Université de Sofia)

Thomas VERJANS (Université Toulouse 2 – Jean Jaurès (Le Mirail))

Bernard VOUILLOUX (Université Paris – Sorbonne)

 

Comité d’organisation : Evgenia Atanasova, Elena Dineva, Tsvetelina Gavrilova, Maria Timova, Malinka Velinova

 

Modalités de soumission des propositions de communication :

Les propositions de communication, contenant un titre, un résumé de 500 mots et une brève bibliographie (5-7 références), sont à envoyer avant le 30 juin 2017 aux deux adresses suivantes : m.velinova@uni-sofia.bg (Malinka Velinova) et endineva@uni-sofia.bg (Elena Dineva). Le résumé doit indiquer clairement la problématique traitée et les objectifs visés, la méthodologie adoptée, les hypothèses de travail et/ou les conclusions/résultats attendus. Une notice biographique de l’auteur devra aussi être jointe au message.

Langues des communications : français, italien, roumain et espagnol

Les communications auront une durée de 20 minutes et seront suivies de 10 minutes de discussion.

Après acceptation par le comité scientifique, les textes des communications feront l’objet d’une publication aux Presses universitaires « Saint Clément d’Ohrid ».

 

Calendrier :

30 juin 2017 : date limite de soumission des propositions

30 juillet 2017 : réponse du comité scientifique

15 septembre 2017 : programme des JE

17 et 18 novembre 2017 : tenue des JE

31 mars 2018 : soumission des textes des communications pour les actes